Paris, 1940-1944
Pierre Philippe Lambert et Gérard Le Marec
Durant les quatre années de l’Occupation, les Allemands préféreront voir se multiplier les groupements et leurs mouvements de jeunesse plutôt que d’encourager le parti unique dont rêve chacun des Chefs, au lendemain de la disparition de la IIIe République. D’où la multiplicité d’organisations dont les effectifs ne seront jamais en rapport avec les prétentions des « frères ennemis ».
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